Le mischocyttarus flavitarsis ( mischocyttarus flavitarsis Mischocyttarus flavitarsis ) vit dans les forêts proches des rivières ou sous les toits près des humains. Contrairement à ce que vous pouvez croire, ils n'aiment pas piquer comme première option. Au lieu de cela, ils préfèrent couper la tête à la présence menaçante. Ce sont des omnivores qui se nourrissent de tout, des autres insectes au nectar en passant par les cadavres d'animaux.

Ropalidia romandi est unique pour sa couleur jaune, avec des marques brun foncé sur le thorax et l'abdomen. Mesurant environ 12 mm, le Ropalidia romandi est considéré comme petit. Le premier segment de l'abdomen chez Ropalidia est plus étroit que les segments suivants. Les ailes avant du Ropalidia romandi plient dans le sens de la longueur, ce qui est une caractéristique commune des guêpes à papier.

Ancistrocerus gazella est une espèce d'insectes hyménoptères de la famille des Vespidae, de la sous-famille des Eumeninae. Elle fait partie des guêpes dites « guêpes maçonnes ». Elle se différencie des autres Ancistrocerus par le bout de ses antennes qui sont recourbés en crochets.

Le Ancistrocerus campestris est principalement identifié avec le visage souriant en colère sur le dos. Lorsque vous ne vous lancez pas dans un match renfrogné avec leur dos, vous admirez peut-être les nids uniques que ces types d'insectes font. La variété des nids les place dans un groupe d'autres guêpes appelées « guêpes potières».

Le frelon européen ressemble à un guêpe mais en bien plus grand. Ce frelon était autrefois utilisé comme arme de guerre: de nombreux spécimens étaient enfermés dans des récipients de terres cuites qui étaient catapultés sur l’ennemi. Depuis quelques décennies un médicament homéopathique est préparé à partir du frelon européen.

Vespa orientalis rappelle assez Vespa crabro : on reconnaît immédiatement en lui un Frelon. Il se distingue surtout par la couleur roux de rouille beaucoup plus étendue que chez son congénère, en particulier sur l'abdomen apparent où seuls les urites (segments) III et IV sont en majeure partie jaunes (cf photo d'une ouvrière ci-contre). Sur la face, les mandibules et les sinus oculaires roux donnent au "visage" un aspect très distinct de celui de Vespa crabro, où ces parties sont jaunes. Enfin, la pubescence est bien plus rase sur l'ensemble du corps : l'insecte paraît quasi-glabre à l'œil nu, à l'instar des Polistes (Polistes sp.) La taille est comparable à celle de Vespa crabro : les reines (ou femelles sexuées) mesurent de 25 à 35 mm de long; les mâles et les ouvrières sont plus petits, atteignant rarement 25 mm. Chez les mâles, les antennes ont 13 articles et l'abdomen apparent compte 7 segments visibles, alors que les femelles n'ont que 12 articles antennaires et 6 segments abdominaux visibles. Ce dimorphisme vaut pour la grande majorité des Hyménoptères aculéates, dont tous les Vespinae. Vespa orientalis serait capable de transformer l'énergie solaire grâce à la structure de la bande jaune de l'abdomen (ce qui explique son activité diurne lorsque l'intensité solaire est la plus intense) : cette bande est constituée de protubérances hautes de 50 nanomètres avec une dépression en leur centre jouant le rôle de capteur solaire photovoltaïque. Les couches de xanthoptérine, pigment responsable de la couleur jaune, convertiraient une partie de la lumière solaire (la lumière bleue et l’ultraviolet proche) en énergie électrique par un processus photochimique, le flux d'électrons résultant alimentant des réactions métaboliques proches du lieu de production électrique. Cette découverte confirme, avec d'autres (telle l'élysie émeraude, limace de mer photosynthétique), la remise en cause partielle du dogme biologique stipulant que le métabolisme des plantes a pour source énergétique le soleil tandis que les animaux tirent leur énergie des molécules organiques fournies par la nourriture (autotrophie par photosynthèse versus hétérotrophie).